
Le climat de l’Arabie saoudite est semi-aride à aride avec des journées chaudes et des nuits froides ainsi que des précipitations annuelles faibles, en dehors de la province d’Asir dans la partie sud-ouest du royaume.
Caractéristiques du climat d’Arabie saoudite
Le climat du royaume est stable la plupart de l’année, en raison de sa localisation dans une région désertique chaude, entre les latitudes 16 ° et 32 °N et avec le tropique du Cancer passant en son milieu. Bien que le climat du royaume soit souvent perçu comme étant très chaud, quatre provinces administratives au moins font l’expérience de températures hivernales descendant jusqu’à -4 °C et de chutes de neige.
Histoire de l’étude du climat d’Arabie saoudite
L’intérêt pour l’étude du climat du royaume a émergé au cours de la deuxième moitié du XX siècle. Avant cela, les voyageurs et les historiens consignaient leurs observations au sujet des phénomènes inhabituels qui survenaient, tels que des pluies trop rares ou trop abondantes, ainsi que leurs effets sur la vie humaine.
Le climat du royaume est influencé par son emplacement géographique et varie en fonction des régions selon différents facteurs, notamment la diversité des caractéristiques topographiques, de la couverture végétale, de la répartition de l’eau et des terres. La température, l’humidité, les masses d’air et les précipitations sont essentiels dans le façonnage du climat.
Climat des provinces saoudiennes
Le climat du royaume diffère d’une province à l’autre, compte tenu de sa topographie variée et de plusieurs autres facteurs. En général, dans le royaume, les étés sont chauds, et les hivers froids et pluvieux.
Les régions montagneuses, telles que les chaînes du Hedjaz et du Sarawat dans les provinces ouest et sud-ouest, tempèrent le climat dans ces zones durant l’été. Dans les hauts sommets de ces régions, le climat est très rigoureux en hiver et caractérisé par des épisodes pluvieux durant le reste de l’année. Cela fait d’Abha, dans la province d’Asir au sud-ouest du royaume, la ville avec le taux de précipitation estivale le plus haut du pays.

Climat des villes côtières en Arabie saoudite
Les villes côtières du royaume, comme Djeddah dans la province de La Mecque ou le gouvernorat de Yanbu dans la province de Médine, sont considérées comme les zones les plus chaudes en hiver. Les villes du nord et du nord-ouest, telles que Tabuk, sont, elles, les plus froides. Le désert du Quart Vide, à l’est du royaume, est classé comme étant la région la plus chaude et la plus sèche d’Arabie saoudite, avec des précipitations annuelles moyennes ne dépassant pas les 50 mm.
Le royaume est exposé aux vents tout au long de l’année, en raison de sa proximité avec les zones de forte pression atmosphérique, avec notamment les pressions anticycloniques de l’océan Atlantique et les hautes et basses pressions de l’Asie centrale. Par conséquent, il est principalement balayé par des vents de nord-est pendant la majeure partie de l’année, par des vents de nord-ouest en hiver et par des vents de mousson en été.
Dans le royaume, le début de l’hiver qui dure 40 jours porte le nom d’al-Murabba'iya. Lui succède al-Shabat pendant 26 jours, puis al-Akareb pendant 39 jours. La fin de la période d’al-Akareb est annonciatrice d’un adoucissement des températures. Un proverbe s’amuse d’ailleurs des personnes qui troquent leurs vêtements chauds pour des tenues plus légères trop tôt, dès que les températures remontent durant la fin de la période d’al-Akareb et avant la fin définitive des vagues de froid : « L’idiot a vendu son manteau ».
Facteurs influençant le climat d’Arabie saoudite
Localisation géographique
Le royaume se situe à l’extrême sud-ouest de l’Asie. S’étendant sur plus de 16 latitudes, il est soumis à des climats en partie déterminés par la situation géographique des régions qui le composent. Ainsi, dans la majorité du territoire, le climat est chaud, sec et désertique. Parallèlement, en raison de sa localisation dans une zone tropicale soumise à une forte pression atmosphérique en hiver, le royaume est balayé par des alizés secs à cette saison. En été, il est exposé à des vents continentaux secs émanant de l’influence d’une pression atmosphérique basse et chaude. Le royaume est donc caractérisé par un climat sec tout au long de l’année et soumis à des températures élevées, en particulier en été, puisqu’il est exposé à une lumière directe ou quasi-directe, le tropique du Cancer scindant son territoire en deux.
Répartition de l’eau et des terres
Le royaume est bordé par la mer Rouge à l’est et le golfe Persique à l’ouest, ce qui permet aux régions côtières de bénéficier d’un taux d’humidité plus important que dans le reste du territoire. La présence de régions montagneuses à l’ouest et leur proximité avec la côte limitent les entrées maritimes, comme c’est le cas dans la province de Jizan, par exemple. Les régions montagneuses du Yémen et le désert du Quart Vide au sud forment des barrières empêchant le franchissement des conditions météorologiques de l’océan Indien à l’intérieur des terres, comme c’est le cas dans la province de Najran, par exemple. La combinaison de cet ensemble de conditions provoque une sécheresse et des variations importantes de températures au sein du royaume, aussi bien à l’échelle d’une même journée que d’une année.
Caractéristiques topographiques
La topographie du royaume est diverse : montagnes, plateaux et plaines créent des environnements climatiques complexes. L’altitude des régions montagneuses fait baisser la température des vents chargés en humidité, ce qui entraîne des précipitations, comme c’est le cas dans les montagnes Shammar et dans les monts Sarawat. Les contreforts de l’escarpement de Jebel Tuwaiq se dressant à environ 1 000 m d’altitude ont un taux de précipitation plus élevé que les régions voisines situées plus bas. La réflexion lumineuse y est également moindre, car les rochers, du fait de leur couleur plus foncée, absorbent une plus grande quantité de rayons. En outre, la température de la surface terrestre et, par conséquent, des vents qui la balaient est plus élevée au niveau des zones recouvertes de sable.
Couverture végétale
La végétation agit sur le climat à différents niveaux, et réciproquement. Elle permet de réduire la vitesse du vent et de protéger les sols des rayons du soleil. L’abondance des précipitations dans le sud-ouest du royaume, telles que la province d’al-Bahah, fait de ces régions les plus vertes du pays. Dans d’autres zones, la végétation est, au contraire, plutôt rare, en raison de l’aridité, ce qui aggrave l’intensité des tempêtes de sable. Le gouvernement a pour projet d’étendre la couverture végétale du pays grâce à diverses initiatives, et notamment la Saudi Green Initiative lancée en 2021.
Éléments du climat saoudien
Température
Le royaume faisant partie de la zone tropicale chaude proche de l’équateur, les températures y sont généralement élevées en été. Avec pas moins de 3 300 heures d’ensoleillement annuel, la plupart des régions du royaume bénéficie d’un ciel dégagé. Les grandes étendues de sable couvrant un tiers du royaume ainsi que les vents continentaux secs qui le balaient concourent à la hausse des températures, en particulier l’après-midi. En hiver, un rafraîchissement se fait ressentir.
Généralement, dans le royaume, les maximales saisonnières en hiver (de décembre à février) se situent entre 20 et 30 °C. Au printemps, de mars à mai, les températures sont comprises entre 30 et 40 °C. En été, de juin à août, elles sont comprises entre 35 et 45 °C. En automne, de septembre à novembre, elles sont comprises entre 25 et 35 °C.
Humidité
Dans les provinces et les villes côtières, l’humidité et les températures sont plus élevées. Le taux d’humidité augmente à mesure que l’on se rapproche des côtes de la mer Rouge à l’ouest et du golfe Persique à l’est. À l’inverse, dans les provinces centrales composées de plateaux et de déserts, un climat continental sec caractérisé par des étés chauds et des hivers froids et pluvieux prédomine.
Masses d’air
En hiver, le climat du royaume est influencé par les masses d’air polaires continentales ainsi que par les masses d’air polaires maritimes qui se forment au-dessus de l’océan Atlantique Nord, et se déplacent vers le sud et le sud-est en traversant la Méditerranée. Cela entraîne des précipitations dans les régions septentrionales et occidentales du royaume, telles que la province de Tabuk et une partie de la province d’al-Jawf.
En été, le climat du royaume est soumis aux masses d’air tropicales continentales se formant au-dessus du continent asiatique et africain, ce qui provoque des températures élevées. Il est également influencé par les masses d’air tropicales maritimes se formant au-dessus des océans tropicaux et se déplaçant en direction du sud-ouest du pays, ce qui donne lieu à des précipitations dans les chaînes du Hedjaz et du Sarawat.
Pluie
C’est à l’hiver et au printemps que le taux de précipitation augmente dans les provinces du royaume. Les régions du sud-ouest se distinguent par leurs précipitations estivales, dont la ville d’Abha dans la province d’Asir détient le record du royaume.
Le taux de précipitation varie d’année en année. Les régions montagneuses du sud-ouest, telles qu’an-Namas dans la province d’Asir et Baljurashi dans la province d’al-Bahah, ont un taux de précipitation plus élevé. Elles sont suivies par les zones septentrionales (Haïl) et intérieures (Qassim et Riyad). Les zones du Quart Vide enregistrent, quant à elles, le taux de précipitation le plus faible du royaume.

En 2018, le taux de précipitation annuel dans le royaume était de 127,8 mm, soit une augmentation d’environ 41 mm par rapport à la moyenne de 2010. Depuis 1990, le royaume met en effet en place un programme d’ensemencement des nuages dont l’objectif est d’accroître le taux de précipitation de 20 % et de compenser la consommation d’eaux souterraines non renouvelables.
En avril 2023, les différentes provinces du royaume ont enregistré un niveau de précipitation plus important que la moyenne, atteignant 31,81 mm. Ce niveau a dépassé la moyenne la plus haute enregistrée 40 ans auparavant de 13,13 mm. Il a également dépassé la moyenne la plus haute enregistrée en avril 2022 de 9,23 mm.
Il y a eu 26 jours de pluie, et le nombre quotidien de précipitations le plus élevé a été enregistré le 25 avril 2023, avec un total de 137 relevés. Le relevé de précipitation le plus élevé de 79 mm a été enregistré le 14 avril 2023 par la station Shaab Ahmad située dans la province d’Asir.
Surveillance climatique en Arabie saoudite
Les débuts des études climatiques en Arabie saoudite
L’étude du climat dans le royaume a commencé au cours de la deuxième moitié du XX siècle. Avant cela, les voyageurs et les historiens consignaient les phénomènes météorologiques inhabituels, tels que des pluies trop rares ou trop abondantes, ainsi que les effets qui en résultaient : épisodes de sécheresse et invasions acridiennes qui abîmaient les récoltes.
Les premières consignations d’informations du service météorologique (actuellement le Centre national de météorologie) ont eu lieu en 1956, et, durant les années suivantes, ont progressé pour apparaître sous une forme améliorée en 1966, notamment grâce au 26 stations de mesure réparties dans 20 aéroports du royaume.
En 1964, le ministère de l’Agriculture et de l’Eau (actuellement le ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Agriculture) a construit des stations dont l’objectif était de procéder à des mesures et de fournir des renseignements hydrologiques essentiels au sujet de 35 centres dans le royaume pour comprendre l’évolution des ressources en eau. En conséquence, davantage de stations ont vu le jour dans le pays.
Centre national de météorologie
Le Centre national de météorologie a pour mission de fournir des services spécialisés en matière de climat, mais aussi d’informer sur les sujets liés à la météorologie au niveau local, régional et international. La création du Centre national de météorologie a été autorisée le 26 mars 2019. Ses tâches consistent à rehausser le niveau des services météorologiques, à alerter de tout phénomène de manière anticipée, suffisante et précise, et à soutenir la réponse au changement climatique grâce à des prévisions fiables à moyen et à long terme.
Il a également pour objectif d’offrir des services météorologiques à une zone géographique plus vaste en améliorant les capacités de surveillance dans diverses provinces. Pour ce faire, il s’appuie sur les moyens techniques modernes et collabore avec des organismes spécialisés dans le domaine à travers le monde.
Système d’alerte anticipée automatique
Le Centre national de météorologie fournit un service permettant l’envoi d’alertes en matière de surveillance météorologique. À partir des informations publiées par le centre, la défense civile envoie des SMS d’alerte météorologique décrivant brièvement le phénomène, qu’il s’agisse de pluies, d’ouragans, de vents ou de tempêtes de sable. Ces messages sont envoyés aux citoyens et aux résidents vivant dans la zone géographique affectée par ces mauvaises conditions météorologiques.
Changement climatique
Les modèles liés aux changements à l’échelle météorologique et des températures, connus sous le nom de changement climatique, sont des facteurs clés expliquant la hausse des températures au niveau mondial qui amènent à des modifications notables du climat. L’activité humaine est un facteur majeur de ces changements. Depuis le XIX siècle et la révolution industrielle, les températures globales ont augmenté à cause de l’utilisation de combustibles fossiles et des actions humaines sur l’environnement. Le Royaume fait partie des pays touchés par ces facteurs, en raison de la sensibilité de ses écosystèmes, de la rareté de ses sources d’eau et de sa forte dépendance aux exportations de combustibles fossiles. Toutefois, il fait actuellement des efforts à l’échelle locale et mondiale pour lutter contre ce phénomène, en signant de nombreux traités internationaux dans ce domaine.
Efforts de l’Arabie saoudite en matière climatique
La question climatique appliquée à la transformation du secteur de l’environnement
Le gouvernement saoudien met l’accent sur le changement climatique avec la création d’un ministère de l’Environnement et l’adoption d’une stratégie nationale pour l’environnement. En outre, le fonds pour l’environnement a été mis en place en 2019 et la loi environnementale a été promulguée en 2020. Ces initiatives visent à protéger l’environnement et à atteindre les objectifs du plan Saudi Vision 2030 en matière de qualité de vie, en tenant compte des considérations environnementales et en cherchant à concilier préservation de l’environnement et exigences économiques.
Le royaume a pour mission de lutter contre le changement climatique en respectant les normes et accords internationaux. Cet engagement se reflète dans la Saudi Green Initiative et la Middle East Green Initiative, qui font partie des initiatives mondiales de protection de l’environnement face au changement climatique.
En tant que pays dépendant largement du pétrole, le royaume s’efforce de préserver l’environnement tout en veillant à la stabilité des marchés de l’énergie pour un développement durable. Il élabore des plans économiques en vue de diversifier les sources nationales de revenu, ce qui permet l’obtention de bénéfices mutuels qui limitent les effets du changement climatique.
Dans le cadre de ses efforts pour lutter contre le changement climatique, le royaume s’attache à réduire la désertification et à utiliser les ressources tout en appliquant le principe de rationalisation de la consommation. Il soutient aussi des pratiques respectueuses de l’environnement, telles que le recyclage des déchets, en érigeant le développement durable comme le pilier de la réussite des plans de développement. Cette approche est en accord avec la politique énergétique du royaume et renforce le rôle de ce dernier en tant que partenaire mondial dans le domaine de l’approvisionnement en énergie responsable et fiable.
Couverture végétale
La Saudi Green Initiative est l’une des contributions du royaume en matière de lutte contre le changement climatique. Elle consiste en la collaboration entre les membres de collectivités, des organismes gouvernementaux et des acteurs du secteur privé pour protéger l’environnement, redoublant ainsi d’efforts pour résoudre la question du changement climatique. L’initiative soutenant Saudi Vision 2030 dans le cadre du programme de la qualité de vie a été lancée en 2021 et a permis l’émergence d’environ 80 programmes et projets.
Cette initiative vise à atteindre plusieurs objectifs d’ici à 2030, y compris la réduction des émissions de carbone de plus de 278 millions de tonnes annuelles, la plantation de 10 milliards d’arbres à l’échelle nationale et la protection de 30 % des zones terrestres et marines du royaume.
Pour soutenir les objectifs de l’initiative de réduction des émissions, le royaume a entamé la construction de la plus grande usine de production d’hydrogène vert au monde dans la ville d’Oxagon à NEOM. Il est prévu que l’usine ait une capacité de production atteignant jusqu’à 600 tonnes d’hydrogène d’ici à 2026.
Middle East Green Initiative
La Middle East Green Initiative s’inscrit dans l’objectif de lutte contre le changement climatique grâce au projet d’augmentation de la surface de la couverture végétale. Cette initiative est considérée comme l’un des programmes les plus vastes de reforestation à l’échelle internationale. Elle a été lancée par le prince héritier et Premier ministre, Son Altesse Royale le prince Mohammed Ben Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud en 2021. Son premier sommet s’est tenu à Riyad, la capitale, et a été l’occasion d’engager le premier dialogue régional sur le climat. Les dirigeants de 20 pays environ ont soutenu cet événement.
L’initiative propose un plan en matière d’action climatique au niveau régional et une action conjointe avec les pays participants pour limiter les effets du changement climatique, faire face aux défis environnementaux ainsi qu’améliorer la qualité de vie et la santé publique. Pour y parvenir, il est prévu d’accroître le pourcentage de zones protégées à plus de 30 % de la surface terrestre du royaume, dépassant ainsi l’objectif mondial actuel visant à protéger 17 % du territoire de chaque pays. En outre, l’initiative présente plusieurs objectifs, dont ceux de planter 50 milliards d’arbres à travers le Moyen-Orient, d’augmenter la part des énergies renouvelables, de créer des activités visant à la protection des environnements littoraux et marins et d’accroître le nombre de réserves naturelles.
Centre régional en matière de changement climatique
Le Centre régional en matière de changement climatique a vu le jour en 2023 dans le but d’appuyer les efforts du royaume dans le domaine de la météorologie et du changement climatique. Il a été mis en place afin de rassembler des recherches liées au climat pour étudier l’impact de ce dernier sur les projets de reforestation issus de la Saudi Green Initiative. Le centre vise à collaborer à la création d’informations sur le climat et à la mise à disposition de plans apportant une contribution au niveau local, régional et mondial. Un autre de ses objectifs est d’étudier les ressources en énergie renouvelable et d’en mesurer l’impact sur les émissions de carbone.
Le centre participe à la sensibilisation des collectivités sur les impacts du changement climatique et aide à en limiter les effets. Il améliore la performance du royaume dans le domaine environnemental afin de réduire les conséquences de ces changements et encourage les activités des secteurs respectueux de l’environnement.
Contribution du royaume à la lutte contre le changement climatique
Le gouvernement saoudien a un rôle actif dans la lutte contre le changement climatique et contribue à de nombreuses initiatives pour réduire son impact à l’échelle locale et internationale. Son objectif est de coopérer en vue de réduire les émissions mondiales de méthane jusqu’à 30 % d’ici à 2030 pour protéger l’environnement. Pour ce faire, le royaume a rejoint le Pacte mondial sur le méthane, ce qui représente une étape majeure sur la voie de la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Le pays a également adhéré à l’initiative Sports for Climate Action des Nations unies en 2022 et a participé à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui a eu lieu à Glasgow en 2021. En outre, il a ratifié l’Accord de Paris sur les changements climatiques en 2016.